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CD1
01. Prélude à l’après-midi d’un faune, L. 86 (Arranged for Two Pianos by Debussy)
02. Impressions de Pelléas, d’après Pelléas et Mélisande I. “Voici ce qu’il écrit à son frère Pelléas…”
03. Impressions de Pelléas, d’après Pelléas et Mélisande II. “Vous ne savez pas où je vous ai menée ?”
04. Impressions de Pelléas, d’après Pelléas et Mélisande III. “Mes longs cheveux déscendent jusqu’au seuil de la tour…”
05. Impressions de Pelléas, d’après Pelléas et Mélisande IV. “Viens, nous allons nous asseoir ici…”

CD2
01. Impressions de Pelléas, d’après Pelléas et Mélisande V. “Pelléas part ce soir…”
02. Impressions de Pelléas, d’après Pelléas et Mélisande VI. “C’est le dernier soir…”
03. Impressions de Pelléas, d’après Pelléas et Mélisande VII. “On dirait que ta voix a passé sur la mer au printemps !…”
04. Impressions De Pelléas, D’Après Pelléas Et Mélisande VIII. “J’Ai Tué Sans Raison!…”
05. En blanc et noir, L. 134 I. Avec emportement
06. En blanc et noir, L. 134 II. Lent. Sombre
07. En blanc et noir, L. 134 III. Scherzando

Marius Constant, who had an intimate knowledge of Debussy’s Pelléas et Mélisande, published Impressions de Pelléas, published in 1992 an abridged version (95 minutes instead of 150) for six singers and two pianists. In an intense flow of music, he telescopes the five acts with great finesse, removing a few scenes and making a fair number of cuts and a few minimal adjustments to the musical material. For the scenography, he suggested, ‘We are in an early twentieth-century salon’ This reflects the fact that during the genesis of Pelléas, Debussy regularly played fragments of it for his circle of friends. In this version, both listeners and performers are involuntarily swept towards the origin and essence of Debussy’s masterpiece a ‘music of the soul’ in which we can all recognise our own Mélisande, Pelléas, Arkel, Geneviève, Yniold and Golaud. This chamber version of the opera is completed by the Prélude à l’après-midi d’un faune in Debussy’s own transcription for two pianos and the suite En blanc et noir. The two pianos used are the new straight-strung instruments built in Belgium by Chris Maene at the request of Daniel Barenboim.